• À lire aussi : Tramway de Québec : Legault n’imposera pas de référendum, mais… • Lire aussi : Conflit tragique Legault et GND sur l’environnement • À lire aussi : 8 temps forts du passage de Catherine Dorion à l’Assemblée nationale Devant une assemblée comble, une trentaine de députés, conseillers municipaux et représentants de groupes associatifs, étudiants et environnementaux ont voulu montrer que le grand projet bénéficie d’une large « acceptation sociale » dans la communauté. Photo Agence QMI, Gaétan Blais
Environ 500 personnes favorables au projet de tramway se sont réunies mardi soir dans une salle de Québec.
“Il faut arrêter de perdre du temps. Les nouvelles conditions signifient des retards. “Cela signifie que cela coûte plus cher et que cela met le projet en péril”, a déclaré Sol Zanetti, co-organisateur du rassemblement multipartite. Photo Agence QMI, Gaétan Blais
Changez votre mélodie Le collègue de Catherine Dorion s’est réjoui de constater que le premier ministre semble avoir changé de ton au cours des dernières heures. Photo Agence QMI, Gaétan Blais
“C’est bien de prendre ses distances avec les deux ou trois ministres québécois qui ont peur de Radio X”, a-t-il dit. Rappelant que les candidats à la mairie du Québec ont remporté plus de 70 % des suffrages lors des sondages de novembre, la députée libérale Marwah Rizqy a accusé le gouvernement Legault de « contester le résultat des élections municipales ». Photo Agence QMI, Gaétan Blais
Son collègue péquiste Joël Arseneau a dit qu’il était “absurde” de voir le gouvernement “s’immiscer dans les affaires” de la municipalité. Photo Agence QMI, Gaétan Blais
Légalité et savoir-faire Pour sa part, Mélissa Coulombe-Leduc, conseillère municipale du parti du maire Marchand, a déclaré que le projet aiderait à lutter contre les changements climatiques. Il a insisté sur le fait que l’administration municipale a toute la “légalité” et le “savoir-faire” pour la construction du tramway. Le chef du Québec, Claude Villeneuve, s’est d’abord moqué du fait que le terme “acceptation sociale” du gouvernement semblait nécessaire pour le tram, mais pas “pour polluer l’air de Limoilo”. Sous les applaudissements, la responsable de Transition Québec, Jackie Smith, a confirmé que « si on veut un tram, c’est le moment de se mobiliser. “Le gouvernement doit livrer le tram là-bas.” Les représentants des sociétés de développement commercial et des conseils de quartier ont noté que le tramway permettrait de lutter contre les pénuries de main-d’œuvre en facilitant la mobilité des citoyens et des travailleurs.