Article écrit par Emanuel Macron a défendu son bilan, affirmant que le Ségur de la santé, il y a deux ans, avait autorisé des augmentations de salaire entre “183 et 400 euros par mois” pour les soignants. Un échange tendu. “On a mal (…), les gens ont mal”, a déclaré un soignant de 61 ans à Emanuel Macron, venu rencontrer le personnel hospitalier de Mulhouse (Haut-Rhin) mardi 12 avril. “Donner les moyens à l’hôpital (…), j’ai connu un hôpital au top ! “(…) Ils ont pris nos moyens”, a-t-il lancé au candidat à la présidentielle. “J’ai un salaire de 1.776 euros” après “30 ans de fondation”, a regretté ce dernier, s’excusant de “l’émotionnel”.
Santé : qu’a fait le gouvernement pour soigner l’hôpital public depuis le “plan d’urgence” lancé en 2019 ? Il était soutenu par un collègue qui appelait à l’amélioration des “conditions de travail” du personnel soignant. “Les lits ferment, les lits extérieurs ferment !”, a réprimandé le candidat LREM. Face à ces derniers, Emmanuel Macron a défendu son bilan, assurant que le Ségur de la santé, qui s’est déroulé il y a près de deux ans, autorisait des augmentations de salaire entre « 183 et 400 euros par mois » et répond en reversant des fonds à l’hôpital : « » Nous avons réinvesti dans l’hôpital comme la nation n’avait jamais réinvesti.” “L’intérêt n’est pas d’ouvrir des lits si vous n’avez plus de monde pour travailler”, a également répondu le candidat à la présidentielle, assurant qu’après une “première étape” d’augmentation des salaires, il entendait “réorganiser le système de soins” de la même manière. territoire » pour « éviter les urgences pressurisées ». Partager: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager par e-mail Partager un lien