Heureusement, le vaccin contre cette terrible maladie est venu en sauveur ou presque. Le fabricant Pfizer a été l’un des premiers à produire un vaccin efficace, avec celui de Moderna. Soudain, tout le monde put respirer. Les campagnes de vaccination s’enchaînent. Malgré de nombreuses réserves, celles-ci se sont bien déroulées. Aujourd’hui, près de 78% de la population française a reçu la vaccination complète. Le gouvernement a aussi tout fait pour lui, notamment à travers le carnet de vaccination. Cela a été fortement contesté. D’autant que le vaccin Pfizer (ou encore Pfizer-BioNTech, ou Cominarty) comme celui de tous ses concurrents s’avère inefficace contre les variantes Delta et Omicron. Cependant, il prévient le développement des formes graves de la maladie. Le nombre de décès liés au COVID-19 a donc fortement baissé. Cependant, malgré les résultats très positifs à l’échelle macroscopique, certains ont fait les frais de la vaccination.
Pfizer dans le collimateur de l’Agence nationale de sécurité du médicament
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé est un établissement public français. Sa mission principale est d’évaluer les risques sanitaires des médicaments et produits de santé destinés à l’homme. Depuis la pandémie de COVID-19, les vaccins de Pfizer et de ses concurrents ont été maîtrisés. En mars 2022, l’agence a préparé un rapport détaillé sur le suivi des effets indésirables après vaccination avec Pfizer-BioNTech. Ce dernier n’est pas le plus rassurant. On retrouve l’apparition de divers symptômes et d’un syndrome qui semble être associé à la vaccination. L’Agence nationale de sécurité du médicament a réalisé de nouvelles analyses et statistiques des cas déclarés depuis le début de la vaccination suite à l’évaluation dans le rapport 18 publié le 24 septembre 2021. Au total, il y a au moins 43 cas de syndrome de Parsonage-Turner, dont 27 le nouvelle période étudiée. Le syndrome de Parsonage-Turner est également connu sous le nom de névralgie amyotrophique. Le principal symptôme est une inflammation du plexus brachial, c’est-à-dire un groupe de nerfs, situé entre l’épaule et la clé. Cela peut éventuellement entraîner une perte musculaire. Cette condition touche principalement les hommes dans la quarantaine. Le syndrome de Parsonage-Turner provoque beaucoup de douleur et de choc électrique. La main fait mal, elle devient lourde. Cette maladie se déroule en trois phases distinctes. Tout d’abord, la phase inflammatoire entraîne de fortes douleurs à l’épaule. Les patients remarquent alors une diminution de la force et de la mobilité. Enfin, ils souffrent d’une perte de masse musculaire.
L’étude détaillée des cas graves après vaccination Pfizer
Le National Drug Safety Service a examiné et analysé tous les cas avec un neurologue spécialisé. 18 des cas présentés n’étaient pas convaincants pour les lier directement au vaccin Pfizer. Cependant, pour les 25 cas restants, un lien de causalité a pu être établi. 7 de ces cas de syndrome de Parsonage-Turner sont survenus après la première dose, 14 autres après l’injection de la deuxième dose et les 4 derniers cas sont survenus après la dose de rappel. Sur ces 25 cas associés au vaccin Pfizer, 9 patients se sont complètement rétablis ou sont en voie de guérison. Un autre s’en est remis, mais cela a des conséquences. Enfin, 14 patients ne sont toujours pas guéris, explique l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé dans son point du 19 mars 2022. L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé a dénombré 8 cas d’une forme spécifique du syndrome de Parsonage-Turner. On parle alors de forme focale, de forme informelle ou de forme débutante. Ce sont des termes cliniques. Ils ont également réussi à remarquer une rechute chez une personne ayant des antécédents de Parsonage-Turner, dont il s’était apparemment complètement remis. Encore plus méconnu, un cas rapporté montre un cas de syndrome de Parsonage-Turner en face du bras vacciné par Pfizer. C’est-à-dire que la personne présente les symptômes dans la main opposée. De nombreux cas particuliers s’ajoutent à la liste. Cependant, vous devez rester positif. Ces 49 cas de syndrome de Parsonage-Turner ne sont rien comparés aux 109 210 000 injections administrées au 10 mars 2022.