Il manquait juste une petite étincelle. De retour des vestiaires après une longue période d’occupation, Delphine Cascarino, l’une des Tricolores les plus en vue, s’est rendue aux Bleus en se jetant dans la surface pour reprendre un centre de Clara Matéo, manquée de peu par Marie-Antoinette Katoto. , transparent. ce soir. Libres, les joueuses de Corinne Diacre ont remporté le deuxième acte et ont continué la pression sur le domicile de Zala Mersnik, sans pouvoir doubler la mise. Peu importe, l’essentiel était ailleurs. Avec cette victoire, leur douzième consécutive, les Français sont assurés de disputer la cinquième Coupe du monde de leur histoire, quatre ans après l’édition 2019 à domicile. Et pourtant, la première période a été douloureuse sur la pelouse de la MMArena du Mans. Face aux deuxièmes du groupe lors du premier coup franc, les Bleues ont contrôlé le ballon, mais ont eu du mal à créer des attaques fortes. Étonnamment fébriles (à l’image de Sandy Baltimore qui glisse alors qu’il vient d’entrer dans la surface à la 41e minute), les joueuses de Corinne Diacre n’ont pas vraiment pu se retrouver au sol et n’ont pas réussi leurs attaques. La Slovénie, en revanche, est restée vigilante et s’est montrée dangereuse dans les fautes de la défense française (9e, 39e, 43e), sauvée par une impériale Pauline Peyraud-Magnin. Avant que Cascarino ne prenne les choses en main. S’il a fallu attendre la dernière journée pour valider la qualification, l’équipe de France n’a jamais douté de cette campagne. Avec huit victoires en huit matchs, les Bleues ont terminé largement devant le Pays de Galles, deuxième, avec huit points. Guidés par un incroyable élan offensif (40 buts et seulement trois encaissés), les Français ont conquis leur sujet du premier contre le dernier. De quoi se mettre sur pied avant leur prochaine échéance, l’Euro, qui se tiendra cet été en Angleterre.