Sur Twitter, le député Monsef Derraji a dénoncé l’incohérence du Premier ministre, soulignant que ce dernier appelle à des mesures d’urgence. L’élu libéral a également souligné que le Dr. Luc Boileau a demandé mercredi que les décrets soient prolongés jusqu’au 31 décembre. M. Boileau estime, comme @francoislegault, que la grande majorité des personnes vaccinées ressentiront les effets du COVID comme un simple #rhume, alors pourquoi en urgence jusqu’au 31 décembre 2022 ? La prochaine étape est-elle susceptible d’être une urgence liée à la grippe saisonnière ? #Polqc pic.twitter.com/5qzNmxfnUg – Monsef Derraji (@monsefderraji) 6 avril 2022 Sur “La Joute”, Emmanuelle Latraverse a estimé que les critiques de M. Derraji étaient justifiées. “Cela fait partie de la difficulté du gouvernement à défendre les mesures qu’il fixe et cela fait partie de la difficulté du gouvernement à justifier qu’il a gouverné par décret, de manière totalement antidémocratique, pendant deux ans. “Et avec ça, ils l’ont pris !”, explique le jiatzis. De son côté, Amir Hadir déplore la “communication boiteuse” de François Lego, alors que la province traverse une période de transition importante vers la gestion de la pandémie. “Les choses changent beaucoup du côté du COVID. Nous sommes constamment devant des inconnus. On se demande comment vont fonctionner les ouvertures et la réduction des restrictions. “Ainsi, il devient encore plus critique d’avoir la bonne communication”, affirme Jouster. Mathieu Bock-Côté, pour sa part, voit les choses complètement différemment. Estime que le départ de François Legault était « prévoyé » “Je pense que nous devons humilier et normaliser le COVID. Nous y sommes arrivés. “On ne va toujours pas vivre dans l’attente de la 26e vague qui pourrait éventuellement justifier le retour du masque le soir du Nouvel An”, clame l’athlète. Pour voir l’échange complet, regardez la vidéo ci-dessus.