• Lire aussi : EN DIRECT | 43e jour de la guerre en Ukraine • Lire aussi : “Je ne veux plus vivre” : une Ukrainienne raconte son viol par des soldats russes • Lire aussi : L’Ukraine demande à l’OTAN des armes “maintenant” ou “ce sera trop tard” “Nous interdisons de nouveaux investissements dans des secteurs clés de l’économie russe, dont l’énergie”, a déclaré le G7 dans un communiqué, qui a également annoncé “des sanctions supplémentaires contre le secteur de la défense russe” et “les élites et leurs alliés”. Le président Vladimir Poutine contre l’Ukraine. Les interdictions d’exportation de certains biens seront prolongées, les sanctions contre les banques et les entreprises publiques russes seront prolongées, selon le texte. Si l’embargo sur les importations d’énergie n’est pas envisagé à ce stade, les pays du G7 veulent “faire avancer” leurs plans de réduction de leur dépendance à l’énergie russe, qui prévoient, entre autres, une “sortie progressive du charbon russe”. Le groupe des sept grandes puissances a également demandé jeudi à la Russie une suspension par le Conseil des droits de l’homme des Nations unies, qui a été approuvée par l’Assemblée générale des Nations unies dans l’après-midi. Sur les 193 États membres de l’Assemblée générale, 24 ont voté contre la suspension – la deuxième dans l’histoire des Nations unies depuis l’expulsion de la Libye en 2011 – lancée par les États-Unis. Les 58 pays se sont tous abstenus, mais les abstentions, un choix dénoncé par Kiev, n’ont pas été prises en compte dans la majorité des deux tiers requise pour un seul vote pour et contre. Parmi les pays qui ont voté contre figurait la Chine, qui a dénoncé une “approche précipitée”, “de l’huile sur le feu” et un “précédent dangereux”.