Les “crimes de guerre” sont définis comme des violations graves du droit international commises à l’encontre de civils ou de combattants lors d’un conflit armé et engagent la responsabilité pénale de l’individu, selon le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme (HCR). . Ces crimes correspondent à des violations des Conventions de Genève, adoptées après la Seconde Guerre mondiale en 1949. Leur codification la plus récente se trouve dans l’article 8 du Statut de Rome de 1998, établi par la Cour pénale internationale (CPI). Guerre en Ukraine : “Déportation” de l’Ukraine, “génocide” visant les Russes… Pourquoi la rhétorique de Poutine pour justifier la guerre est infondée (via @20Minutes) — Thibaut Chevillard (@TiboChevillard) 24 février 2022 L’accès à ce contenu a été bloqué pour respecter votre choix de consentement En cliquant sur ” J’ACCEPTE », Vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et ainsi vous aurez accès aux contenus de nos partenaires J’ACCEPTE
Et pour mieux récompenser les 20 minutes, n’hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour une seule journée, via le bouton “J’accepte pour aujourd’hui” dans le bandeau ci-dessous. Plus d’informations sur la page politique de gestion des cookies. Cet article présente plus de 50 exemples de crimes de guerre, tels que meurtres, tortures, prises d’otages, utilisation d’enfants soldats, déportations illégales, attaques délibérées contre des civils, viols, pillages ou attaques délibérées contre des missions d’aide humanitaire ou de maintien de la paix. L’utilisation de gaz ou d’armes généralement interdites qui peuvent causer des «douleurs inutiles» ou des «frappes aveugles», telles que les armes à sous-munitions, sont également considérées comme des crimes de guerre. Les crimes de guerre relèvent de la CPI. La Cour internationale de justice, basée à La Haye, a été créée en 2002 pour juger ce type de crime, ainsi que les crimes contre l’humanité, le génocide et, plus récemment, les crimes d’agression.