Non loin d’une résidence urbaine de Basse-Bourgogne, à l’ombre de deux grands séchoirs à grains, Marine Le Pendevise sous un ciel printanier avec un couple d’agriculteurs septuagénaires. “Je n’ai pas de pension de 500 euros, mais je conduis quand même le tracteur”, lance fièrement Dominique Blanc, qui accueille lundi le finaliste à la présidence sur sa ferme de 220 acres. Une invitation de rêve pour le candidat, venu parler de l’inflation et de ses conséquences principalement pour les agriculteurs. Un premier voyage endotouristique a été décidé à la dernière minute à Soucy, dans l’Yonne. Comme pour répondre à celle, le jour même, d’Emmanuel Macron dans les territoires RN du Nord. “Dieu merci, je ne m’attendais pas à ce qu’Emanuel Macron fasse campagne, sinon je ne l’aurais jamais lancée”, a-t-il déclaré. Qu’il aille à Denain voir les conséquences de sa politique. “J’espère qu’il s’en sortira en sachant qu’il a fait beaucoup de mal.” Lire aussiMacron-Le Pen : l’histoire secrète d’un second tour prévu Pour faire quoi…
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