• Lire aussi : Un faux Zelensky quitte l’Ukraine avec l’aide de Vladimir Poutine et du phénomène Kim Jong Un • Lire aussi : EN DIRECT | 46e jour de la guerre en Ukraine • Lire aussi : Le patriarche russe veut combattre les “ennemis extérieurs et intérieurs” Les journalistes se sont vu refuser l’accès à l’aéroport. Une équipe de l’Agence française a cependant entendu un avion décoller, signe que la piste n’a probablement pas été touchée par la grève. “Nouvelle attaque sur l’aéroport de Dnipro. Il ne reste rien. L’aéroport lui-même et les infrastructures à proximité ont été détruits. “Et les fusées continuent de voler”, a écrit Valentin Reznitchenko, le gouverneur, dans un télégramme. “Nous sommes en train de déterminer le nombre de victimes”, a-t-il poursuivi. L’aéroport de Dnipro avait déjà été touché par un bombardement russe le 15 mars : le gouverneur avait alors affirmé que la piste avait été “détruite” et que le terminal avait été “détruit”. Dnipro, ville industrielle d’un million d’habitants traversée par le fleuve Dniepro (Dniepro en ukrainien) qui marque la frontière de la partie orientale du pays, à majorité russe, a à ce stade relativement échappé aux combats entre les armées ukrainiennes et ukrainiennes. C’est à Dnipro qu’un “grand nombre” d’évacués arrivent du Donbass, plus à l’est, qui est désormais une cible prioritaire pour la Russie après avoir quitté la région de Kiev et le nord de l’Ukraine.