– Publicité- En clair, il s’agit “d’une fuite des cerveaux pour mieux traiter la maladie, sur le modèle de l’administration continue d’insuline aux patients diabétiques”, résume le professeur David Devos, qui a co-fondé la start-up. qui a développé la technologie, InBrain Pharma. Dans les Hauts-de-France, 22 000 cas ont été recensés et 200 000 en France. La maladie de Parkinson, selon le CHU, est actuellement traitée avec de la L-Dopa, une substance qui se prend par voie orale puis se transforme en dopamine. Cependant, celle-ci “a une durée d’action limitée et entraîne des complications motrices de fort handicap chez 50% des patients après 5 ans et chez 80% des patients après 10 ans”. La nouvelle technologie développée dans l’intracérébral “permet un plongeon dans le cerveau pour mieux traiter la maladie”, poursuit le professeur David Devos. Et le Pr Caroline Moreau, co-fondatrice d’InBrain Pharma, explique : ” [La dopamine] stocké dans une pompe implantée sous la peau dans la région abdominale à laquelle est attaché un fin cathéter qui permet [la] distribué localement dans les ventricules cérébraux en évitant les effets secondaires périphériques. » L’essai clinique est toujours en cours au CHU de Lille. La prochaine étape consiste à “préparer un essai clinique plus large qui permettra l’autorisation de mise sur le marché du traitement DIVE”.
title: “Un Nouveau Traitement Pour Soigner La Maladie De Parkinson " ShowToc: true date: “2022-10-28” author: “Harold Blank”
– Publicité- En clair, il s’agit “d’une fuite des cerveaux pour mieux traiter la maladie, sur le modèle de l’administration continue d’insuline aux patients diabétiques”, résume le professeur David Devos, qui a co-fondé la start-up. qui a développé la technologie, InBrain Pharma. Dans les Hauts-de-France, 22 000 cas ont été recensés et 200 000 en France. La maladie de Parkinson, selon le CHU, est actuellement traitée avec de la L-Dopa, une substance qui se prend par voie orale puis se transforme en dopamine. Cependant, celle-ci “a une durée d’action limitée et entraîne des complications motrices de fort handicap chez 50% des patients après 5 ans et chez 80% des patients après 10 ans”. La nouvelle technologie développée dans l’intracérébral “permet un plongeon dans le cerveau pour mieux traiter la maladie”, poursuit le professeur David Devos. Et le Pr Caroline Moreau, co-fondatrice d’InBrain Pharma, explique : ” [La dopamine] stocké dans une pompe implantée sous la peau dans la région abdominale à laquelle est attaché un fin cathéter qui permet [la] distribué localement dans les ventricules cérébraux en évitant les effets secondaires périphériques. » L’essai clinique est toujours en cours au CHU de Lille. La prochaine étape consiste à “préparer un essai clinique plus large qui permettra l’autorisation de mise sur le marché du traitement DIVE”.