Venant de la Sorbonne ou d’ailleurs, ils veulent faire entendre leur voix. “C’est le moment, c’est notre mouvement. C’est aussi à nous, les jeunes, de montrer qu’il y a une voix qui n’a peut-être pas été entendue aux élections”, explique Zak, étudiant en philologie. “C’est affreux d’en arriver là”, déplore Salomé. Dès lundi matin, des mobilisations étudiantes sont organisées dans les universités, avec pour slogan « Ni Macron, ni Le Pen ».